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Melting hearts, pumping ice | Henry & Klaus

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Klaus Rockefeller

Klaus Rockefeller

Terre 1872

Crédits : Moi (Lyric)
Univers : La Reine des Neiges Alternatif
Feat : Aaron Taylor-Johnson
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Occupation : Agent d'entretien à la patinoire
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Ce sourire ferait fondre la glace la plus magique d'Arendelle
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MessageSujet: Melting hearts, pumping ice | Henry & Klaus Melting hearts, pumping ice | Henry & Klaus EmptyJeu 22 Fév 2024 - 17:19

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@Henry Lovett

Klaus aurait été le premier à vous dire qu'il était impossible de tomber amoureux juste en voyant quelqu'un pour la première fois. Que les histoires de coups de foudre ne sont que des romanisations absurdes de rencontres pour faire plaisir à son partenaire et que personne ne pouvait ressentir de l'amour à la seconde où quelqu'un entre dans votre vie. Il aurait été le premier à trouver ridicule les histoires des couples qui ne parlaient que d'amour inconditionnel, comme le sentiment le plus fort qu'ils n'aient jamais ressenti, alors que ce n'était qu'une forme d'affection comme une autre dans toutes les relations sociales qu'ont les Hommes.

C'était comme si l'existence avait voulu lui prouver qu'il avait tort en le faisant vivre exactement tout ça. A la seconde où il avait posé les yeux sur Henry, son coeur avait loupé un battement et les fameux papillons dont il avait longtemps entendu parler s'étaient réveillés dans son ventre. Des sentiments qui n'avaient fait que grandir en le voyant, gracieux et magnifique, évoluer sur la glace. Des sentiments qui avaint brulé chaque partie de son être en osant aller lui parler et en apprenant à le connaitre.

Klaus était tombé amoureux violemment, et s'était pris la tempête de ses sentiments au sens littéral du coup de foudre : en innocent qui marchait simplement dehors lorsque la foudre lui tombait dessus, du ciel, en une fraction de seconde, sans qu'il ne puisse rien y faire. Klaus était devenu exactement l'archétype de celui qu'il aurait trouvé ridicule quelques temps auparavant encore mais il s'en fichait : il avait réussi à demander Henry en rendez-vous il y a quelques mois et il avait dit oui. Ridicule ou pas, tenir la main d'Henry, l'embrasser et dormir près de lui plusieurs fois par semaine étaient ce qu'il avait eu de mieux dans sa vie jusqu'ici.

C'est pourquoi cette relation le terrifiait. Enfin, ce n'était pas la relation qui le terrifiait : c'était la conviction que si rien n'était éternel, cette relation pouvait ne pas l'être non plus. Et si Henry avait réussi à fendre tous les murs de Klaus pour en faire cette grande guimauve amoureuse, ce dernier n'était pas sur de pouvoir supporter l'idée de le perdre. Sauf que Henry était le premier garçon qu'il aimait comme ça. Et Henry était... beau, gentil, généreux, élégant, amusant... la liste était longue. Alors que Klaus était juste... Klaus. Maladroit, ne sachant pas trop quoi faire de son corps imposant, au métier peu flatteur, et plus agé qu'Henry : il était constamment terrifié qu'un jour, l'une de ces caractéristiques finissent par lasser Henry. Ou pire, que le tout le fasse fuir.

Pour la Saint-Valentin, il avait invité Henry à dormir chez lui dès la nuit du 13 février. Ce serait la première fois que Klaus passait la Saint-Valentin sans être le petit aigri qu'il était souvent, aux cotés d'Henry, et il voulait que tout soit parfait. Il espérait enfin réussir à lui avouer ces trois petits mots qui tambourinait dans sa tête : Je t'aime. Il espérait enfin réussir à les lui dire sans se défiler de peur qu'Henry trouve ça "trop" pour lui... sauf que Klaus n'arrivait pas à se défaire de cette peur.

Mais il fallait se lancer : Klaus avait envie de lui demander d'emménager ensemble, mais s'il n'arrivait même pas à lui avouer un classique "je t'aime", il n'irait pas très loin avec ses dossiers de logement.

Le programme était parfait.
- Etape 1 : Inviter Henry à dormir chez lui dès la nuit précédant la Saint-Valentin. Regarder un film, s'endormir devant (ou après quelques petits extras nocturnes).
- Etape 2 : Se réveiller avant Henry sans faire de bruit. Klaus commençait ses journées bien avant son copain puisqu'il devait mettre en état la patinoire, ce qui était parfait pour lui cuisiner un petit-déjeuner romantique qu'il déposerait sur un plateau dans sa chambre.
- Etape 3 : Partir travailler toujours sans faire de bruit. Lorsque Henry se réveillerait à son heure, il découvrirait la scène comme dans un film : le plateau qui était décoré d'une rose dans un vase, avec le petit-déjeuner entièrement fait maison avec des choses qu'il aimait.
- Etape 4 : Retrouver un Henry comblé à la patinoire, l'embrasser, attendre qu'il finisse sa journée, patiner ensemble quelques instants avant de l'emmener en rendez-vous dans la chic Banlieue Ouest où Klaus pourrait lui dire, dans un restaurant luxueux en bord de plage pour lequel il avait économisé : "Je t'aime".

Evidemment, avec la maladresse légendaire de Klaus, rien ne se passa comme prévu.

L'étape 1 s'était passé à merveille. Klaus et Henry avaient l'habitude de passer quelques nuits par semaine ensemble, chez l'un ou chez l'autre, il ne lui a donc pas été difficile de lui proposer son appartement pour ce soir. Ils avaient commandé des pizzas qu'ils ont mangé devant un film, avant de se plonger dans le lit et d'accomplir les petits extras en question.

Et... c'est absolument tout. Seulement un quart du plan (le plus facile et moins important dans les projets de Klaus) s'était passé comme prévu. Le matin du 14 février, Klaus se réveilla bien en premier, comme prévu. Dans ses bras, il avait Henry qu'il entourait en grande cuillère, encore dénudés de la veille sous une épaisse et confortable couverture. Henry était heureusement encore endormi. Klaus passa quelques minutes comme ça, appréciant l'instant pour se réveiller à son rythme, avant de se redresser doucement... et la panique commença ici.

Klaus s'était réveillé une heure trop tard. S'il voulait lui préparer le petit-déjeuner, partir avant qu'Henry ne doive se réveiller, et mettre en état la patinoire avant l'ouverture publique, il devait faire le tout en moins de trois quarts d'heure.

Il étouffa un juron, paniqué mais avec encore l'espoir de réussir sans réveiller son copain. Il quitta le lit aussi vite que le silence le lui permit et n'enfila qu'un caleçon pour foncer vers la cuisine. Il trouva le vase vide et se maudit intérieurement : il n'aurait jamais le temps d'aller acheter une rose au marchand d'en face comme prévu. Il soupira mais tant pis, il aurait tout le loisir de la lui offrir ce soir, se dit-il.

Il sortit les oeufs, les flocons, le lait, le chocolat la confiture, les fruits et le jus et se dépécha de tout cuisiner aussi vite qu'il le put. Mais en voulant optimiser le temps en faisant plusieurs choses en même temps, il ne parvint qu'à bruler ses pancakes. Il étouffa un autre juron, essayant de gérer la colère qu'il avait envers sa propre bêtise toujours sans faire de bruit.

Tant pis, il restait le chocolat, les flocons et le jus. Il essaya de dresser le tout aussi bien qu'il le puisse, et se dirigea dans la chambre. Là, il glissa sur son propre caleçon. Il réalisa qu'il avait enfilé celui d'Henry, mais cette information n'avait plus aucune importance puisque le plateau glissa, le verre de jus tomba et se brisa au sol, trempant leurs vêtements par la même occasion. Non non non non non, pesta-t-il dans un murmure.

Un mouvement dans le lit l'alarma. Il se retourna vivement et vit les yeux d'Henry s'ouvrir. Nooon ne te réveille pas ! Supplia-t-il en se redressant rapidement vers lui.

Il n'avait surement pas beaucoup d'allure comme ça : dans un caleçon trop serré qui ne lui appartenait pas, sur une pile de vêtements qu'ils s'étaient jetés la veille désormais trempés de jus, tandis que lui même, dans son seul caleçon, était taché de pate à pancake et de chocolat, décoiffé et l'air terriblement triste d'avoir absolument tout raté.

Il soupira, défaitiste, et posa sa tête peinée sur l'épaule d'Henry. C'est trop nul... ça aurait du être comme dans un film, tu aurais du te lever après que je sois parti travailler, tu devais trouver ton petit déjeuner au lit avec une rose pour faire bonne impression dès le matin pour la Saint-Valentin, et j'ai tout raté, je suis désolé...

Il redressa la tête tout en la gardant contre lui, pour pour le regarder dans les yeux, un air de chien battu sur le visage. Et je crois que c'est ton caleçon que j'ai mis et que j'ai taché de chocolat, avoua-t-il finalement.

Il le regarda un instant, avant de se rapprocher et de l'embrasser. Pourquoi j'ai l'impression que je pourrais mettre le feu à l'appartement et tu ne m'en voudrais pas pour autant ? Lui demanda-t-il dans un petit sourire.

Il l'embrassa une deuxième fois avant de se lever. Faut que j'y aille, je suis en retard... Encore pardon, je te promets de me rattraper ce soir. Y a le reste du plateau qui a survécu je crois. Et il me semble qu'il te reste encore des affaires à toi dans l'armoire de la dernière fois.

Il rapprocha le plateau, s'empara de toutes leurs affaires dégoulinantes, et quitta la pièce sur un dernier sourire qui dissimulait cependant une envie puissante de se giffler.

Bon. Il pouvait encore sauver les pots cassés et réussir l'étape 4. La journée passa et Klaus croulait sous un stress gigantesque : après avoir raté le début de la Saint-Valentin, il était terrifié à l'idée de rater la fin. Pour l'instant, il ne donnait à Henry aucune raison de lui retourner son Je t'aime, et il commençait à se demander s'il devait le lui avouer aujourd'hui alors qu'il n'arrivait à rien.

N'abandonne pas encore, se motiva-t-il. Il avait encore l'étape 4. En fin d'après-midi, alors que les derniers élèves d'Henry partaient, Klaus enfila ses patins pour le rejoindre au milieu de la piste vide. Si monsieur le professeur veut bien m'accorder quelques pas de danse avant de raccrocher ses patins ?

Il posa ses mains sur ses hanches et l'embrassa avant de répéter ses excuses dans un murmure. Désolé pour le chaos de ce matin, donne moi une seconde chance et je vais tout faire pour que la soirée se déroule beaucoup mieux, promis.



Dernière édition par Klaus Rockefeller le Dim 24 Mar 2024 - 21:35, édité 1 fois
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Henry Lovett

Henry Lovett

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Crédits : jamesandthemoon
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Age : 25 ans
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MessageSujet: Re: Melting hearts, pumping ice | Henry & Klaus Melting hearts, pumping ice | Henry & Klaus EmptyMar 19 Mar 2024 - 5:16

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@Klaus Rockefeller

Après l'enfance tumultueuse d'Henry, il peut enfin affirmer, à l'âge adulte, que sa vie actuelle lui plaît, et qu'il est absolument satisfait. Bien sûr, la vie n'est jamais tranquille, et il y a un nombre incalculable d'aléas et d'imprévus, mais dans l'ensemble, Henry est heureux. Bonheur qui a grandi exponentiellement depuis sa rencontre avec Klaus. Quelque peu cynique et loin de ceux à croire au coup de foudre et aux âmes-soeur, force est de constater qu'il ne lui fallut pas longtemps avant de tomber sous le charme du plus âgé.

Bien qu'ils se côtoient depuis des années, Henry n'a jamais vraiment eu le courage de l'aborder, se contentant de lui offrir des sourires lorsqu'ils se croisaient. Qu'elle n'a pas été sa surprise - et sa plus grande joie - de voir Klaus faire le premier pas en l'invitant à dîner. Premier rendez-vous exceptionnel, cela a été le début d'une relation des plus merveilleuses aux yeux du professeur, qui n'en revient toujours pas d'avoir trouvé en Klaus le grand amour. Car, oui, il en est persuadé: tous deux finiront leurs jours ensemble, pour le meilleur et pour le pire. S'il n'a toujours aucune bague au doigt, Henry espère pouvoir changer ça très rapidement, ses envies de mariage grandissant à mesure des jours, et des moments passés aux côtés de Klaus.

Petit-ami des plus romantiques qui lui propose de venir passer la soirée chez lui, la veille de la Saint-Valentin. Henry accepte avec plaisir, bien évidemment, toujours heureux d'être en compagnie de sa moitié, peu importe l'occasion. Au fond de lui, néanmoins, Henry espère être comblé. Si une demande en mariage semble quelque peu précoce, c'est avant tout le désir d'être en présence de Klaus pour le restant de ses jours qui le motive, et l'anime. Henry ne nourrit aucun rêve de plus ardent que celui de vivre sous le même toit que son petit-ami.

Soirée plus que fantastique, Henry n'a jamais eu besoin que des bras de Klaus autour de lui, et de ses baisers langoureux pour être le plus heureux au monde. Le roux n'est pas sans ignorer que son petit-ami manigance quelque chose, toutefois. Ses yeux rieurs sont moins lumineux, et sa joie de vivre habituelle est mêlée à une certaine anxiété. Préférant ne pas s'en inquiéter, Henry se demande bien ce qui peut tant perturber Klaus. Une rupture n'est pas envisageable, le rouquin le sait. Mais cela ne l'empêche pas d'observer son petit-ami plus attentivement, comme si cela allait lui permettre d'y dénicher ses pensées les plus secrètes.

Secret découvert bien plus tard, le lendemain matin, alors qu'un bruit assourdissant vient le réveiller quelque peu en sursaut. Henry ouvre les yeux, se demandant ce qui peut bien avoir causé un tel capharnaüm. Et ses yeux viennent trouver la silhouette figée et complètement paniquée de son petit-ami, le torse nu et couvert de sauce au chocolat. Un instant horrifié, se demandant s'il n'a pas été attaqué par leur cuisine toute entière, les pièces manquantes du puzzle parviennent à Henry, alors qu'il aperçoit un verre de jus d'orange complètement brisé au sol. Oh...

Loin de s'en vexer ou d'en rire, il laisse un sourire illuminer son visage, venant caresser les cheveux de Klaus. Une telle tentative de préparer le petit-déjeuner est absolument romantique, malgré le désastre qui s'en est suivi. Henry ne peut s'empêcher de tomber un peu plus amoureux de Klaus, trouvant sa maladresse attachante. Tu n'as rien raté du tout. Je suis flatté que tu aies voulu ainsi me faire plaisir. Et c'est sincère. C'est le geste qui compte, après tout.

Je me disais bien aussi que ce caleçon me paraissait atrocement petit, qu'il s'amuse, tentant désespérément de remonter le moral de son petit-ami. Ce n'est que du chocolat, arrête de t'inquiéter, d'accord ? Henry le regarde droit dans les yeux, toujours aussi sensible aux charmes de Klaus, et de son regard de chien battu. Il lui rend son baiser, toujours heureux de l'embrasser. Baiser aux arrières goût de chocolat, qu'Henry est bien trop heureux de faire perdurer.

Parce que c'est le cas. Tu n'as rien fait de mal. Mais par pitié, ne mets pas le feu à l'appartement. Sans se dépourvoir de son sourire, Henry vient caresser la joue de Klaus, avant de le laisser partir. Arrête de t'inquiéter, vraiment. Fonce, je te rejoins très rapidement.  

____________________________

Journée banale au possible, Henry s'est contenté de répéter les leçons de la veille, s'assurant que ses élèves aient bien révisé chacune de leurs figures, et qu'ils sont au point au niveau entraînement. Beaucoup ont été distraits ceci-dit, se contentant de pianoter sur le téléphone, un air absent et niais sur le visage. C'est la Saint-Valentin, après tout. Henry n'est que trop compréhensif à ce sujet, lui-même ayant volé de nombreux regards envers son petit-ami, à quelques mètres de là, s'occupant de l'entretien de la patinoire.

Journée enfin terminée, Henry observe avec joie et amusement son petit-ami s'approcher de lui en plein sur la glace. Ce n'est pas la première fois qu'ils se permettent des petits écarts ou des moments intimes en plein sur leur lieu de travail, alors que tout le monde a quitté les lieux et qu'il n'y a plus qu'eux d'eux. Ce serait mon plus grand honneur. Il s'incline, comme le vieux cliché des nobles d'antan, avant de lui rendre son baiser.

Je vais sans doute me répéter, mais je te l'ai déjà dit: tu n'as vraiment pas à t'inquiéter. Henry passe sa main dans les cheveux de Klaus, c'est son pêché mignon. Il adore leur texture, et apprécie énormément les petits bruits qui se dégagent des lèvres de Klaus à chaque fois qu'il tire un peu fort sur l'une de ses mèches. Mais je suis curieux de voir ce que tu me réserves, ceci-dit. J'espère avoir des paillettes plein les yeux, monsieur ! Il ne peut s'empêcher de rire après cette affirmation, bien trop heureux d'être là, en compagnie de Klaus, sous les spots encore illuminés de la patinoire.

Les yeux dans les yeux, Henry ne peut s'empêcher de sentir son coeur accélérer, et son souffle se couper. S'il l'a toujours su, il ne peut plus en douter désormais. Il est profondément amoureux. Sentiment qui l'envahit de toutes parts, manquant de le faire défaillir. Avant toute chose, il me semble que tu m'as promis une danse, si je ne m'abuse. Et sans même attendre, le roux s'empare des mains de son petit-ami, l'entraînant sur la glace, tous deux virevoltant comme deux étoiles filantes en plein cosmos.

Il n'y a de sensation plus grisante, plus ensorcelante, que d'être dans les bras de Klaus, laissant leur coeur battre en harmonie, sous la mélodie de l'amour.

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MessageSujet: Re: Melting hearts, pumping ice | Henry & Klaus Melting hearts, pumping ice | Henry & Klaus EmptyDim 24 Mar 2024 - 22:33

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@Henry Lovett

Voilà, toute la journée et l'univers rentraient enfin dans l'ordre alors qu'il avait Henry dans ses bras, les mains de celui-ci dans ses cheveux, s'embrassant doucement. Le tracas que Klaus s'était fait depuis le matin, autant pour ses bêtises qui avaient manquées de gacher la journée que pour ce qu'il essayait d'avouer, semblait s'alléger de trois tonnes dès qu'Henry se lovait contre lui.

T'es le meilleur, ponctua-t-il d'un baiser. Tu mérites le meilleur.

Ce qui creusa à nouveau ce sentiment de stress profond. Klaus voulait effectivement lui offrir le meilleur mais s'angoissait tout seul à l'idée qu'il n'y arriverait pas : il n'avait pas réussi à assurer un petit déjeuner, pouvait-il tenir un diner entier ? Il le fallait, il en avait profondémment envie.

Et là, dans ces bras, ces trois petits mots battaient contre son crane comme son coeur emballé. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Il se maudissait d'avoir trop peur de les lui dire, effrayé à l'idée de ne pas être digne des trois mêmes mots de sa part. Et rien dans l'attitude d'Henry ne lui laissait croire ça, Klaus se sentait profondément aimé avec lui, mais ce grand idiot en manque de confiance n'arrivait pas à s'arreter de se créer ses propres peurs.

Dieux qu'est-ce qu'il était amoureux pourtant. Il pourrait en fondre. Qu'on mette au défi quiconque prétendait pouvoir trouver homme plus chanceux sur Terre que lui.

Il mélangea ses mains aux siennes sans hésiter. Klaus avait toujours été à l'aise sur la glace (à sa grande surprise pour commencer, lui qui était grand et souvent brut de décofrage ne se prédestinait pourtant pas à être agile avec ses jambes sur un terrain aussi glissant), mais il ne s'était pas privé de s'améliorer auprès du professeur, trouvant là les excuses parfaites pour avoir plusieurs rendez-vous volés à la patinoire qui avaient d'ailleurs alimenté les débuts de leur relation.

Lorsque la lumière se mit à s'éteindre sans prévenir, la maladresse éternelle de Klaus prit le dessus et plaça son pied au mauvais endroit. Il fit tomber Henry mais celui-ci le rattrapa tout contre lui, et c'est sur ses fesses à lui qu'ils tombèrent tous les deux. Klaus ricana doucement. Désolé, souffla-t-il, s'excusant pour la centième fois.

Il se leva tant bien que mal en aidant Henry à faire de même avant de regagner le sol ferme. J'ai du allumer le minuteur au lieu d'appuyer sur le vrai interrupteur, comprit-il son erreur.

Mais il lui accorda un regard complice. C'est peut-être le signe d'aller à notre diner, proposa-t-il alors. Il avait peut-être peur de rater la soirée, il n'empêche qu'il avait terriblement hate.

Il entralaçait ses doigts à ceux d'Henry alors qu'ils quittaient la piste dans le noir. Klaus sortit son téléphone pour se guider à la lumière de la lampe torche. Mais alors qu'il essaya de pousser la porte, Klaus se heurta à quelque chsoe de parfaitement immobile.

J'ai pourtant pas fermé à clé, s'inquiéta-t-il d'avoir encore fait une bêtise.

Il fouilla dans les poches de son sac pour sortir le trousseau de clé de l'établissement, et d'engouffrer la clé dans la serrure... mais il n'y arriva pas : c'est alors qu'il remarqua une fine couche de glace qui recouvrait la porte.

Qu'est-ce que... bafouilla Klaus dans l'incompréhension, incapable de former une phrase.

Il recula avec Henry dont il tenait toujours la main, et éclaira la porte, puis le mur entier : toute la façade intérieure du hall d'accueil de la patinoire était gelé, les bloquant à l'intérieur.

Klaus alluma son téléphone, mais il n'affichait aucun service. Ca bloque le réseau, expliqua-t-il, ne sachant pas quoi faire.

La Saint-Valentin aurait du être parfaite, et voilà qu'il ratait quelque chose d'autre sans même le vouloir...

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