Caractère  

    érudite, intelligente, curieuse, réfléchit, loyale, diplômate, indépendante, têtue, impatiente, suceptible.

   

Pouvoirs  

    écrire par ici (à ignorer si maudit ou TVA)

   
   

   

L'histoire de ton personnage  

    Raconte l'histoire de ton personnage dans son univers d'origine. c'était une mission lambda.
quelque chose de simple, rien d'extraordinaire.
la routine dans votre découverte de l'espace.
vous saviez pour quoi vous aviez tous signé. découvrir des nouvelles espèces et des nouvelles planètes impliquaient aussi, parfois, d'avoir affaire à des espèces hostiles  qui, dans le meilleur des cas rejettait tout contact et dans le pire des cas, s'avéraient hostiles. vous aviez risqué votre vie plus d'une fois, certains n'avaient pas toujours réussi à s'en sortir mais de manière générale, le cocoon principal de votre équipage restait inchangé. quand vous aviez été missionnié pour cette planète, tu t'étais pas imaginé, une seule seconde, les choses qui se présenteraient à vous.

cette lueur rouge tamisée était la seule chose qui servait de source lumineuse. tu fixais un point invisible, des yeux grand ouverts tandis que ton corps réagissait lui même automatiquement : tu tremblais, t'étais littéralement prise de spasmes incessant. le deck était confiné et c'était peut-être le seul endroit où vous étiez en sécurité. pour l'instant. chekov avait les yeux rivés sur les détecteurs de mouvements du vaisseau pendant que le ton montait principalement entre spock et kirk, pour ne pas changer. l'un parlant avec son instinct de survis, l'autre prêchant la logique. tu peux pas t'empêcher de réagir légèrement face à ce discours et enfin tu redresses tes prunelles brunes vers le duo. – spock ! tu hurles pour l'interpeller. un blanc tombe sur le deck tandis que les paires d'yeux présentes se tournent vers toi. – arrête de réfléchir avec ton côté vulcain, et utilise autre chose que la logique. – lieutenant, avec toute le respect que je vous dois, mon plan est la seule issue logique à cette situation. tu finis par te lever, tremblant toujours autant par le traumatisme que tu avais vécue quelques minutes plus tôt et tu peux pas t'empêcher de t'avancer vers lui. tu sentais tes jambes être presque instable mais tu réussissais à tenir debout, malgré toi. peut-être car ta volonté de lui faire ravaler sa logique une bonne fois pour toute te démangeait plus qu'autre chose. tu te tenais devant lui, de manière frontale, porté par une probable adrénaline. – ta logique marcherait si on avait en face de nous un adversaire que nous connaissons. si on avait les romuliens, les klingons, n'importe qui, je n'hésiterais pas une seule seconde à te suivre. mais tu as vu aussi bien que moi ce que cette chose à fait. ta voix tremble encore tandis que tu te remémores les images du massacre. d'ordinaire, tu n'aurais pas hésité une seule seconde à défendre tes pairs mais dans l'immédiat, ton instinct de survis avait pris le dessus et la seule chose que tu avais pu faire, c'était courir en espérant survivre jusqu'au lock down de la console principale. – en moins de vingt quatre heures, la majorité de notre équipage est décimé. notre vaisseau est inapte à rejoindre la planète de la fédération la plus proche, c'est qu'une question de temps avant que la gravité de cette planète nous attire de nouveau et nos communications sont coupées. c'est qu'une question de temps avant qu'on finisse par arriver à cours de vivre et ça, c'est dans le meilleur des scénarios ! parce que cette chose va finir par nous décimer avant même qu'on ait le temps de se préoccuper du manque d'eau ou de nourriture. t'étais pas le genre à t'énerver nyota encore moins quand il s'agissait littéralement de ton supérieur. sauf que là tu t'adresses pas à ton supérieur. dans votre quête de survis, vous êtes probablement tous égo. – lieutenant, je comprend votre frustration mais nous avons juste besoin d'attendre que scotty relance les moteurs et nous seront … – spock, scotty est probablement mort maintenant ! tu tournes ton regard vers le blond, et t'acquiesces d'un signe de tête preuve que t'approuvais ses décisions. – je suis d'accord avec toi. il faut faire sauter le vaisseau. chekov arrête ce qu'il était en train de faire tandis que tout les regards se tournent d'autant plus vers toi. t'étais la dernière à qui on atribuerait ce genre de propos. t'étais peut-être la première à croire en star fleet plus que n'importe qui et servir sur ce vaisseau réputé pour être le plus évolué de la flotte était un véritable honneur. et tu connaissais vos risques : tu savais que ces explorations pouvaient finir par mettre votre vie en péril mais tu savais que c'était tout sauf l'objectif de la fédération. et surtout, t'étais prête à mourir pour une cause : qu'on se rappelle de vous. mais celle-ci ? avec personne pour raconter ce qui s'est passé ? tu refuses d'y laisser ta vie. ou peut-être étais-tu encore plus terrifié de finir avec une de ces choses sur ton visage. – lieutenant, vous êtes traumatisé je doute que vos décisions soient les plus rationnelles. tes yeux se remplissent de larmes tandis que t'es totalement prise au dépourvu, au bord du craquage et de la crise de nerf. – spock, faire sauter le vaisseau est notre seule chance de s'en sortir. tu dis d'une voix qui se brise tandis que la pression ne cessait de monter d'un cran. tu recules alors d'un pas avant d'observer les quelques membres de l'équipage présent. – que ceux en faveur de faire exploser le vaisseau lève la main. c'était la voix de sulu qui s'imposait simplement et normalement comme il le faisait si bien quand aucun de vous trois n'était présent sur le vaisseau lors de mission diverse. tu peux voir votre capitaine lever la main, puis tu t'empresses de faire la même chose. Et tu peux voir que chekov s'empresse de suivre votre mouvement, au même titre que les quelques autres subordonnés présent sur le deck. – désolé spock. murmure votre capitaine. tu te doutes que kirk est probablement conscient que le mi-vulcain pense déjà à la réaction de vos supérieurs chez star fleet mais tu sais aussi que quand ils apprendront le massacre qui a eu lieu ici, alors vous n'aurez aucun soucis à vous faire pardonner. – on a a quand même un problème. déclare le jeune russe et vos regards se tournent vers lui. – les commandes à distances sont toute h.s. son regard dit tout, et les regards que vous vous lancez entre vous sont probablement tout aussi significatif. vous savez tous la signification exacte de ce message. – j'irais. cette fois c'est vers votre capitaine que vos regards se tournent et les larmes ne font que redoubler sur ton visage.

le silence était tombé sur le pont principal après le départ de kirk. spock avait éteint les quelques caméras encore actives pour ne pas voir le probable massacre qui s'en suivait et tu pouvais voir qu'il se sentait non seulement coupable mais portait sur ses épaules un fardeau bien plus lourd que tu ne pouvais imaginer. et tu le connaissais assez pour voir qu'il s'efforçait de se renfermer derrière son stoïsme légendaire mais que son côté humain prenait le dessus. il avait cette arrogance un peu agaçante et cette manière à se croire supérieur sur beaucoup de point, et tu savais qu'un jour il ferait un excellent capitaine. mais pas maintenant. pas tant qu'il refusait d'épouser pleinement sa double nature et qu'il cherchait à renier l'humanité hérité de sa mère. et c'est parce que kirk épousait parfaitement ses défauts qu'il était excellent. vous aviez le cœur lourd, tous. et si vous portiez tous une certaine culpabilité, tu savais que ça n'était rien comparé à spock qui se sentait d'autant plus coupable. et pourtant, il n'avait pas le temps de pleurer, pas maintenant. parce que le départ de kirk annonçait qu'une seule chose : il était désormais en charge. et votre survis était désormais sa responsabilité. tu savais que vous n'aviez pas l'temps de vous attarder, mais chacun d'entre vous avait besoin de quelques minutes pour vous remettre de vos émotions. et de toute manière, cette chose était probablement du côté des moteurs, ce qui vous laisserait assez de temps pour rejoindre les capsules de sauvetages. – plus on perdra de temps, plus cette chose risque de revenir. déclare le mi-vulcain d'un ton qui semble à la fois stricte et triste, la colère se mélangeant à tout ses sentiments et tu ne pouvais que le comprendre. alors vous vous empressez d'vous préparer : pour tout dire, vous n'aviez rien à prendre puisque vous seriez sans doute en cryogénisation jusqu'à la planète de la fédération la plus proche. sans le confort habituel vous n'aviez de toute manière pas d'autre choix. Ton regard se perd sur l'étendue sombre qui se trouve là, en face de vous et pendant un cours instant tu peux pas t'empêcher de te dire que l'espace est terriblement relaxant. source d'anxiété pour certain, et tu mentirais si tu disais que t'étais pas terrifié à l'idée d'être dans un pod à peine plus grand que toi, ça restait quelque chose qui te fascinait et qui t'avais mené à faire ce job aujourd'hui. tu sens quelque chose d'humide sur ta joue, que tu t'empresses de venir essuyer. si tu pensais à une énième larme à laquelle tu ne portais désormais plus attention, tu ne tardais pas à froncer les sourcils en remarquant que pour une larme, c'était anormalement épais. tu fronces légèrement les sourcils tandis que cette texture tombe sur le sol juste devant toi, et ton rythme respiratoire s'accélaire soudainement anormalement. – spock ? tu déclares enfin, ce qui lui fait redresser le regard vers toi. – lieutenant ? – le système d'aération vient jusqu'à nous, n'est-ce pas ? – oui, pourquoi ? tremblante tu pointes doucement au dessus toi, parce qu'évidemment tu te tenais juste sous celui fameux système. une énième goûte visqueuse tombe sur ta peau et c'est suffisant pour alerté le capitaine de substitution. la porte se déverouille au même moment et tu peux pas t'empêcher de juste prendre tes jambes à ton cou. tu commences à courir, mais t'as même pas fait deux mètres que très vite, tu tombes au sol tandis que tu sens quelque chose te tirer par le cheville. tu te retournes alors pour observer ça et la créature se trouve là, te tirer sadiquement jusqu'à elle ce qui te fait pousser un hurlement strident. c'est probablement ce qui alerte le vulcain qui se retourne et observe la scène. tu sais pas exactement ce qui se passe, mais tout c'que tu sais c'est que le pilote automatique s'engage de lui même dans ton cerveau. ton instinct de survis prend le dessus, principalement au moment où spock te hurle de te couvrir le visage. tu sais pas comment, ni pourquoi, mais la seule chose que tu sais c'est qu'une chaleur soudainement etouffante est soudainement présente dans la pièce et que t'es plus tirée au sol. ton bras est cependant brûlé à un degrè assez important, mais t'es trop prise par l'adrénaline pour réellement le remarquer. ton regard se redresse derrière toi pour voir le feu qui brûle grâce à la bombone d'air comprimé explosé par le pistolet du vulcain, ce qui semble avoir été suffisant pour faire lâcher prise à cette créature qui se trouve pourtant toujours à quelques mètres de toi. t'entends la voix de sulu qui vous appelle et c'est suffisant pour te faire redresser sur tes jambes et courir. tu réfléchis pas, tu pleures plus, tu respires même plus, tu cours jusqu'aux pods de sauvetage. t'entends pourtant derrière toi la voix de tes camarades qui finissent par des cris de douleurs. le sang retapisse les couloirs écarlates de ce vaisseau et toi, tu continues ta route. tu appuies sur la porte du pod de sauvetage dans lequel tu t'inseres immédiatement. au moment où la vitre blindée se referme, cette pseudo araignée bizarre saute sur celle-ci, comme espérant probablement pouvoir faire de toi sa prochaine proie et elle fini par simplement glisser, incapable de pouvoir s'ancrer quelque part. ton regard se tourne alors à ta droite tandis que tu peux enfin voir la silhouette de spock qui semble réussir à rejoindre à son tour un pod, mais ça, c'est jusqu'à ce que tu remarques cet alien derrière lui. et t'as beau hurler son prénom, il t'entend pas. tu glisses ta main sur le bouton d'ouverture mais très vite ton regard est captivé par celui d'ouverture, non pas de la porte mais du sas qui détacherait ton pod de sauvetage du vaisseau. tu recommences à pleurer,  tandis que tu hésites un cours instant mais une tâche verte gicle sur la vitre et c'est ce qui te fait prendre la décision. – j'suis désolé spock. Et t'appuies sur le second bouton. t'es ejectée violemment contre le mur blindé derrière toi et très vite, la capsule de sauvetage tourne dans l'espace, te faisant voir l'enterprise depuis l'extérieur duquel tu prends de la distance. Il suffit de quelques secondes avant de voir celui-ci exploser et le détonnation vaux à ton pod de prendre encore plus de distance.
et tu t'effondres, tes jambes se dérobant tandis que tu commences à pleurer tout c'que tu peux à même le sol, la douleur de ton bras brûlé se faisant ressentir mais c'est presque rien contrairement à la douleur que tu ressens émotionnellement.

assise derrière cette console t'observe l'écran silencieuse. ça fait une heure et demi que tu vagabondes dans le vide intersidéral mais que t'es en sécurité. t'as pleuré. Beaucoup. t'as aussi rempli ton estomac avec l'éternelle nourriture sous vide proposé dans ces pods d'urgence. Star fleet n'était pas au top de la technologie pour rien. tu appuies sur le clavier avant de lancer la caméra et d'observer l'écran. – je m'appelle nyota uhura. je travaille pour la fédération et j'ai notamment le titre d'officier lieutenant-commandant sur l'USS Enterprise NCC-1701. ceci est un message de détresse destinée à toute personne suceptible de recevoir ce message. l'équipage a été entièrement décimée. je répète, je suis l'unique survivante du vaisseau. je suis actuellement dans un pod de sauvetage qui est en route pour la planète de la fédération la plus proche de ma position actuelle dont les coordonnés s'inscrivent en bas de l'écran. quand vous intercepterez ce message, je serais probablement déjà cryogénisé pour survivre à ce périple. quoi qu'il advienne, ne venez pas à l'encontre de l'enterprise. ne cherchez pas à savoir ce qui s'est passé sur LV-426. personne n'est apte à survivre à ça ni même les combattant et soldat les plus performant de cette galaxie. J'ai confiance en la technologie de star fleet, mais je suis terrifiée. alors qui que vous soyez, si vous tombez sur mon pod s'il vous plait, sortez moi de là. tu sens les larmes qui recommencent à se manifester mais tu les chasses rapidement pour te concentrer sur ton discours. tu déglutis légèrement avant d'observer de nouveau la caméras. et tu réunis le peu de force et de logique qu'il te reste pour simplement répéter ce message en diverses langues, dont le klingon qui reste un peu rouillé malgré tout. mais honnêtement, tu préfères finir entre leur main que de nouveau là-bas. à choisir, c'est vite fait.
tu finis par taper sur ce même clavier et finalement envoyer ce message de détresse à haute fréquence, espérant que quelqu'un finira par l'intercepter rapidement.
et alors que tu séchais tes dernières larmes, vérifiait ton bandage au niveau de ton bras, tu t'empresses de formater ton pod pour finalement t'allonger dedans. Et quelques secondes après uniquement, te voilà t'endormant pour une durée indéterminée.

    Raconte l'histoire de ton personnage depuis qu'il n'y a plus que la Terre 1218. ici ; tu étais nehemi williams, jeune demoiselle qui malgré un job passionnant à BASR enchaînait les séjours en hôpital psychiatrique dû à des traumatismes évident qui t'empêchait de dormir. Si toi comme les médecins ignoraient les raisons de ces crises psychotiques, ce n'est que quand tu as retrouvé la mémoire que tu as pu comprendre d'où venait tes troubles psychologique. de là, tu as pu avancer, doucement, allant de moins en moins à l'hôpital, suivant malgré tout une thérapie profonde pour t'aider à guérir de tes traumatismes. our être honnête, la voix vers la reconstruction est longue et t'es toujours pas prête à remettre les pieds sur un vaisseau mais t'essaie de combattre tes traumatismes. désormais considérée pour l'instant comme vétérante, du moins jusqu'à ce que tu sois aptes à reprendre le chemin des missions, tu formes les futures recrues à explorer l'espace à leur tour.