Le deal à ne pas rater :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : où l’acheter ?
Voir le deal

traumas, they surround me. (ft. ferb)

Aller en bas
2 participants
AuteurMessage

Harleen Quinzel

Harleen Quinzel

Terre 1245

Crédits : murdock (avatar), old money (signature)
Univers : dc comics, injustice.
Feat : margot robbie.
Illustration : traumas, they surround me. (ft. ferb) 12c1d39c86f5f62efee611c81d0ee32b4b6ed495
Double compte : isla hewitt (elizabeth turner), padmé amidala, aconia minor, barbara l. gordon.
Messages : 17
Points : 201
Date d'inscription : 30/03/2024


traumas, they surround me. (ft. ferb) Empty
MessageSujet: traumas, they surround me. (ft. ferb) traumas, they surround me. (ft. ferb) EmptyDim 7 Avr 2024 - 18:14


stand alone, my soul is jealous. it wants love but i reject it. trade joy for my protection. grab my hand i'm drowning, i feel my heart pounding. why haven't you find me yet ?  (music) -- ft. @ferb fletcher.


reflet chaotique. toi même t'étais même plus certaine d'le reconnaître. ou peut-être que si, mais t'aimais pas c'que tu voyais, t'aimais pas c'que tu ressentais. en fait si tu pouvais tu anihilerais absolument toute sensation, tout feeling, n'importe quoi qui serait suceptible de te faire encore basculer.
parce que t'apprenais jamais harley. parce que quand tu pensais enfin avancer et évoluer, tu retombais encore dans le même schéma toxique et tout ton apprentissage, tout ton travail personne partait en fumée. toute tes tentatives de reconstruction volaient en éclat au même rythme que ce miroir que tu viens briser d'un simple coup de poing un peu trop violent. puis très vite, les larmes redoublent car il te faut peu de temps pour comprendre que même si ta main n'est pas brisée, la coloration rouge démontre bien que des morceaux d'verres ont pénétrés ta peau. elle tremble, sans que tu puisses le contrôler tandis que tu regardes ton œuvre d'art qui se conclu par un miroir brisé et du sang plein le lavabo. les pensées dans ton esprit s'enchaînent, ayant causé cette anxiété l'accentuant par cette voix qui continuait de hanter ton esprit. you'll never learn harley. c'est distordu dans ton esprit et tu peux pas t'empêcher de vouloir refondre en larmes en entendant sa voix raisonner dans ton esprit, tu vas jusqu'à glisser tes deux mains dans ta chevelure pour tirer sur ton cuir chevelu, presque comme si ce simple geste allait suffir à le faire taire une bonne fois pour toute.

c'est pourtant le tambourinement contre la porte qui te sors de ta panique. tu observes la porte, silencieuse pendant quelques secondes espérant presque qu'on finisse par oublier que t'es là. tu dis rien, clignant plusieurs fois des yeux, arrêtant presque de respirer. si tu réponds pas, peut-être que qui que ça soit derrière cette porte finira par partir. – dr. quinzel ? est-ce que tout vas bien ? ta respiration reprend tandis que tu comprends que tu ne peux juste plus éviter l'inévitable. tu renifles un grand coup, regardant autour de toi pour finalement attraper du papier toilette et l'enrouler autour de ta main ensanglanté. – oui oui. tu déglutis légèrement tandis que tu finis par appuyer sur la chasse pour prétendre à autre chose et tu viens essuyer tes larmes de ta main encore valide. une grande inspiration, un grand sourire et tu viens cacher ta main dans la poche de ta blouse blanche dans l'espoir que personne ne remarque quoi que ça soit et surtout, que le sang ne tâche pas celle-ci. visage parfaitement fermé et neutre, loin des expressions si folles que tu as d'ordinaire, tu t'extirpes des toilettes, refermant la porte derrière toi pour t'assurer que personne ne remarque le miroir brisé par ton action – personne ne doit savoir ici que toi même, t'es plus autorisé à pratiquer à gotham. personne ne doit savoir que t'es la première à finir derrière ces bareaux à chaque fois. personne ne doit savoir que t'es toi même hanté par ce fantôme du passé qui dans des moments de faiblesse refait surface tel le monstre qu'il est.

tu souris, échange quelque mot avec l'interne qui te tend le dossier. tu le saisis de cette main parfaite et tu t'empresses de prendre la route des cellules. tandis que tu avances, t'as presque l'impression d'le voir, assis là. tantôt allongé sur le lit d'un prisonnier pendant que le dit prisonnier fait son work out, tantôt assis sur le rebord d'une fenêtre en hauteur. il te nargue, de son sourire de clown et ton esprit est tellement brisé que tu peux presque sentir son souffle dans l'creux de ton cou au même titre que sa poigne qui se referme violemment sur ta nuque. tu fait d'ailleurs tourner ta tête, désireuse de chasser cette sensation désagréable mais ça ne chasse pas ces visions. ça ne chasse pas les traumatismes. le sursaut que tu fait quand tu entends une altères tomber accidentellement au sol, les jurons d'un autre prisonnier qui s'attaque à un garde.
tu t'sentais pas en danger dans ce genre d'endroit, peut-être parce que tu connaissais la froideur de ces murs que trop bien, que t'avais connu pire.
cette prison était un luxe comparé à l'enfer que réservait arkham. tu savais qu'à toi seule, tu pouvais très facilement briser plus d'un seul de ces hommes, psychologiquement mais surtout physiquement et c'est pour ça que tu n'avais absolument pas peur pour ta vie ou que tu estimais ne pas avoir besoin d'escorte. tu te sentais juste pas toujours à ta place car la liberté de pouvoir vagabonder dans ces couloirs était encore quelque chose à laquelle tu n'étais pas habituée.

tu tournes, un sifflement raisonne et tu lèves les yeux pour camoufler ton désarois tandis que lui, il rigole encore, se tordant presque de rire à même le sol. tu tente de l'ignorer, mais t'es dans une place si mauvaise psychologiquement parlant que t'arrive pas à combattre cette projection mentale. tu prends une garde inspiration tandis que tu arrives devant la porte de cette salle que tu avais fréquenté plus d'une fois, serrant le dossier contre toi comme pour essayer de taire les battement de ton cœur qui étaient un peu trop bruyant. ta main valide avance doucement pour saisir la poignée, elle tremble encore plus. tu refermes celle blessé dans ta poche ce qui la fait saigner deux fois plus. cette même pression se fait ressentir au niveau d'la nuque, comme ces nombreuses fois où il t'avait attrapé par la nuque pour te faire passer un moment relativement désagréable. pour t'humilier. pour te détruire un peu plus psychologiquement. Pour que tu finisses par vouloir qu'une telle interraction arrive car c'était la preuve qu'il te voyait. punching ball humain dans laquelle il dégageait toute sa frustration émotionnelle ou sexuelle, poupée parfaite faite pour amuser son maître. tel un arlequin.
tu sens cette pression se refermer, et c'est peut-être pour ça que tu t'sens obliger de poser ta main sur cette poignée. tu trembles encore, presque comme une fleur, effrayée et sans défense tandis que tu entends encore ce démon mental à l'image du joker murmurer des atrocités dans le creux de ton oreille.

et alors que tu ouvres la porte, tu t'retrouves face à cette silhouette. et soudainement, c'est comme si toute la pression disparaissait. comme si la cacophonie qui était en train de se passer dans ton esprit se taisait enfin. comme si t'étais appaisé. t'es assez naïve pour croire que tu vas être tranquille sauf que l'éternel démon du joker est là, encore et toujours, attendant juste le meilleur moment pour refaire surface. – ferb. tu dis d'un air qui paraît presque naturel puisque pendant quelques secondes, tu réussis à oublier les atrocités qui raisonnent dans ton esprit. – comment allez vous aujourd'hui ? tu essaies de rester le plus légère possible, avec cet éternel tempérament et surtout de faire taire ces papillons qui recommencent à s'envoler dans ton ventre. des semaines de session, d'évaluation psychologique, un rapport rendu qui peut être biaisé de par ton propre ressenti. what a shame. un métier que t'avais rêvé de faire et au final t'es incapable de rester neutre. est-ce qu'il était dangereux ? t'étais incapable de pouvoir le dire. ton manque de jugement objectif y était pour beaucoup, t'étais juste totalement asborbé par ses beaux yeux, sa douceur presque înée et ses histoires absolument folle qui te faisaient un peu rêvé. – je viens avec une nouvelle qui devrait probablement ravir votre journée. le sourire que tu réussis à esquisser se veux sincère, t'en oublie même ta main douloureuse dans la poche de cette blouse. tu t'installes en face de lui, comme lors de ces nombreuses de sessions de thérapie et tu ouvres son dossier, fouinant dedans pour trouver la feuille qui offrait le report final. – la commission s'est réunie ce matin, me demandant mon avis professionnel sur votre situation et il s'avère que vous êtes … et alors que tu sors enfin la feuille avec le verdict final tu redresses aussi la tête, toute excitée par la nouvelle. sourire qui disparaît presque tout aussi rapidement quand tu remarques dans l'coin d'la pièce, cette énième projection mentale de celui qui t'avait totalement crée et qui mange une pomme. oh non, harley chérie, fait pas attention à moi. j'veux juste voir la déception sur ton visage quand tu réaliseras que tu t'es bercée d'illusion. tu baisses le regard, déglutissant sentant très rapidement l'anxiété remonter. je hum … tu balaies la tête de gauche à droite pour essayer de redresser de nouveau le regard. – je disais que vous êtes enfin libre. et l'éternel combat interne débutait.
harleen versus harley. l'optimiste, celle désireuse de sauver et d'aider les gens, celle qui aspirait à une brillante carrière contre l'arlequin au casier judiciaire long comme ton bras. mais surtout, la torturée par l'image perpétuelle de cet homme, ou plutôt de ce monstre qui t'avait totalement détruite. ton rythme cardiaque augmente de nouveau et t'es soudainement prise d'une violente envie de faire quelque chose. – je n'ai rien à redire concernant votre aptitude à être dans la nature, à vrai dire je pense que vous êtes plutôt le genre de citoyen plus ou moins modèle.
vos affaires sont réunies pendant que nous parlons pour que vous puissiez les récupérer avant de sortir.
Sentant comme un poids contre toi, tu essaies de rester le plus neutre possible tandis que tu sens bien que cette image mentale qui paraît trop réelle cherche à lire tes notes. jusqu'au jour où il fait brûler un orphelinat. mais sinon, réellement harley, et si tu lui posais la question qui te brûle les lèvres ? ça devient terriblement anxiogène, et ce monstre mental prend encore plus d'ampleur tandis que cette fois-ci, c'est comme si sa main se refermait autour de ta gorge et un murmure prononcé dans ton oreille. montre lui ton vrai visage et ensuite demande lui c'qu'il pense de toi. ou peut-être as-tu trop peur du rejet ? sois honnête avec toi même, harley, chérie, on sait tout les deux que personne ne voudra jamais de toi. personne ne voulait de toi avant moi, personne ne voudra après moi. t'es bonne à rien. tu sais même pas faire une bonne blague ; à part peut-être celle de lucy, je dois admettre que celle-ci est vraiment pas mal.

si t'avais réussie à faire la différence entre la réalité et ton anxiété, le simple fait d'évoquer lucy brise cette barrière. t'es désormais de nouveau totalement prise au piège par ton anxiété. – la ferme. tu clâmes de manière ferme, comme refusant de te laisser embarquer dans le traumatisme qu'il avait lui même causé. elle avait été celle te permettant de te rendre compte de sa toxicité et encore aujourd'hui ça faisait effet. et si la manipulation mentale de tes propres traumatismes continuent, tes pensées étant toute les plus distordues les unes des autres, tu finis par exploser. manifestation de ces mêmes traumatismes qui sabottent tout c'que tu peux essayer d'entreprendre, te rappelant le terrible destin dans lequel tu t'étais toi même lié en cédant aux délires du joker. tu te penches et tu fait basculer la table sur le côté, comme pour essayer de repousser ce démon mental et tu te redresses de ta propre chaise, te tournant face au mur sur ta gauche pour hurler une énième fois de se taire. et si pour toi, c'est entièrement réel, vue de l'extérieur, tu délires juste. tu hurles à un mur face à un démon invisible.
et ce n'est que quelques secondes plus tard que t'es frappée par la réalité, remarquant très vite que t'avais toi même foutu ce bordel à cause des traumatismes qui continuaient de faire des leurs.
(c) mars.
Revenir en haut Aller en bas

Ferb Fletcher

Ferb Fletcher

Terre 4567

Crédits : Moi (Lyric)
Univers : Phinéas et Ferb alternatif
Feat : Chris Evans
traumas, they surround me. (ft. ferb) 792bb45731680a2e0e7214c6c7c4790ee00aae56

Age : 35 ans
Occupation : Astrophysicien au BASR (Baiame Aeronautics and Space Research, l'équivalent de Baiame de la NASA)
Illustration :
Hey you
traumas, they surround me. (ft. ferb) 381415cbda556a19ba5a48610c33f8769c1054c5

Messages : 20
Points : 105
Illustration :
traumas, they surround me. (ft. ferb) 15qd

Date d'inscription : 04/04/2024
Nom & pronoms : Lyric - Il / Lui


traumas, they surround me. (ft. ferb) Empty
MessageSujet: Re: traumas, they surround me. (ft. ferb) traumas, they surround me. (ft. ferb) EmptyLun 8 Avr 2024 - 17:09

image rpimage rp

Traumas, they surround me

@Harleen Quinzel

Ferb, dans la cellule qu'on attribuait encore à "Owen O'Neill", l'homme qu'il était dans cette étrange malédiction que le TVA lui avait expliqué ensuite, bidouillait les fils d'un vieux téléphone qu'on lui avait donné. La prison n'avait pas été aussi horrible pour Ferb, contre toute attente. Même les plus violents détenus (qui, eux, étaient emprisonnés à juste titre et non pas seulement à cause de la malédiction de Baiame) l'appréciaient pour ses ressources étonnantes qui dépassaient l'imagination pour quelqu'un qui ne possédait même pas de pouvoirs. Ce téléphone qui était entré de manière illicite était à la fois un cadeau pour services rendus mais aussi un service caché, Ferb avait parfaitement conscience qu'on attendait de lui qu'il en fasse une autre merveille qui aiderait les prisonniers d'une façon ou d'une autre.

Il ne comptait pas en faire quoique ce soit qui encouragerait le non-respect des règles, bien sûr. Entendons-nous bien, Ferb était capable d'ouvrir un portail vers une autre dimension avec ce téléphone (du moins, si le multivers ne s'était pas effondré) et quand bien même cela l'amusait de devenir amis avec ces gens malgré la neutralité des expressions qu'il avait sur le visage depuis toujours, il n'était pas non plus question de devenir hors-la-loi. Le TVA avait dit qu'ils allaient évaluer qui était enfermé injustement à cause de la malédiction et il avait confiance. A présent, il devait juste s'occuper patiemment le temps que le verdict ne tombait.

Il était de nature patiente de toutes façons, donc ça n'avait pas été un problème, et s'amuser à transformer ce petit téléphone n'était qu'une activité amusante mais il n'en avait pas besoin pour prendre son mal en patience. Mais il fallait dire que même s'il n'avait pas été patient, la tache n'aurait pas été difficile non plus. La psychologue pénitentiaire qui se chargeait de l'évaluer avait été d'une compagnie étonnament agréable. Oui, Ferb pouvait facilement sociabiliser avec n'importe qui, mais le Docteur Quinzel avait été d'une étonnante fraicheur et originalité.

Originalité, oui, c'était le bon mot. C'était la qualité que Ferb appréciait le plus chez n'importe qui. Ses amis l'étaient tous, c'était de personnes originales que lui et son frère s'étaient toujours naturellement entourés, probablement parce qu'ils l'étaient eux-même. Il fallait dire que ce monde ne lui en avait pas beaucoup offert, principalement à cause de la prison mais aussi à cause de la malédiction. Le savoir qu'il avait eu de ce monde durant son remplacement d'identité lui avait fait comprendre que la "normalité" dominait ce monde. Ferb était content du potentiel qu'avait le réveil de la malédiction pour peupler Baiame de profils atypiques issus d'une infinité d'univers différents et bien moins ordinaires. Comme le docteur Harleen Quinzel. Il ne la connaissait pas au delà de ce qu'il avait découvert d'elle durant leurs séances mais il était évident pour Ferb qu'elle était de ceux qui sortaient du lot.

Lorsque l'heure de leur rendez-vous était venue, Ferb n'était plus en train de transformer ce téléphone. Son "atelier" terminé, il avait accueilli le docteur convenablement, comme à chaque fois. Ferb ne parlait presque jamais et ses expressions étaient souvent imperturbable, ne brisant que ce silence et cette neutralité que de temps en temps, s'exprimant par les actions plus que par les paroles. Pour autant, il n'était pas très dur de lire derrière son air neutre : cet air n'était en aucun cas une carapace qui cachait ses émotions mais sa manière sincère d'être, alors même lorsqu'il se contenta de s'asseoir et d'hocher la tête, il n'était pas difficile de comprendre qu'il était ravi de la voir.

En réalité, il lui avait adressé un petit sourire, Ferb ne s'en était même pas rendu compte.

Je vais bien, avait-il répondu factuellement. Il ne lui posa pas la question en retour, comprenant parfaitement qu'elle n'était pas dans un bon jour. Ferb, sans surprise ni davantage de réaction, comprenait qu'elle luttait, d'une manière ou d'une autre.

Il n'avait pas réagit davantage quand elle lui annonça sa liberté. En fait, ça n'avait rien eu de surprenant, Ferb savait qu'il serait libéré et avait eu confiance en le docteur Quinzel pour encourager cette décision. Pour lui, ça n'avait été qu'une question de temps. Il écouta, ses yeux éternellement attentifs l'observant pendant qu'elle lui expliquait, mais lui remarquait tout autre chose : elle n'était pas entièrement avec lui, autre chose turlupinait ses esprits.

Ferb ne sursauta même pas quand la table se fit jeter sous son nez, manquant de peu de lui raser le visage, toujours dans ce même calme qui l'habitait. Il se leva cependant, toujours attentif dans le doute où ce qui torturait son esprit la mène à se faire du mal. Lorsque la psychologue semblait à nouveau maître de ses émotions, elle trouva un Ferb prêt à l'aider, proche d'elle et à l'écoute malgré son manque de parole. Il lui adressa un nouveau sourire en sortant quelque chose de sa poche.

Un petit appareil se déploya dans ses mains, et des petites hélices se mirent à tourner pour s'envoler alors. Le téléphone qu'il avait transformé tout à l'heure était devenu une espèce de petit drone qui virevoltait dans la pièce, en la dardant d'une petite lumière bleue qui semblait la scanner. Finalement, une petite voix eletronique en sortit : Le périmètre a été sécurisé de toute présence indésirable.

Suite à quoi le petit drone surprenant se posa sur l'épaule de Ferb qui offrit un petit sourire à Harleen et lui tendit la main. Les démons qui vous embêtaient se sont enfuis pour le moment, dit-il simplement, signifiant alors qu'il comprenait (plus ou moins), la croyait déjà d'avance, et qu'il avait prévu bien avant une pareille éventualité en bidouillant un appareil capable de la rassurer.

Revenir en haut Aller en bas

Harleen Quinzel

Harleen Quinzel

Terre 1245

Crédits : murdock (avatar), old money (signature)
Univers : dc comics, injustice.
Feat : margot robbie.
Illustration : traumas, they surround me. (ft. ferb) 12c1d39c86f5f62efee611c81d0ee32b4b6ed495
Double compte : isla hewitt (elizabeth turner), padmé amidala, aconia minor, barbara l. gordon.
Messages : 17
Points : 201
Date d'inscription : 30/03/2024


traumas, they surround me. (ft. ferb) Empty
MessageSujet: Re: traumas, they surround me. (ft. ferb) traumas, they surround me. (ft. ferb) EmptyLun 15 Avr 2024 - 15:53


stand alone, my soul is jealous. it wants love but i reject it. trade joy for my protection. grab my hand i'm drowning, i feel my heart pounding. why haven't you find me yet ?  (music) -- ft. @ferb fletcher.


t'avais probablement l'air d'être totalement dingue. pour tout dire, ça ne serait pas très surprenant qu'on te qualifie comme tel, t'étais presque habituée même à avoir de telles remarques. c'était pas inhabituel chez toi, bien au contraire. Pourtant, si ça venait d'lui ça ferait mal. un peu. peut-être ? tu savais pas trop, tout c'que tu savais c'est que tu fixais cette table désormais retournée, les yeux dans l'vide et d'une vulnérabilité extrême. les questionnements tournent dans la tête, les traumatismes sont là et les blessures sont à vif. ce qui te sort enfin de ta torpeur, c'est ce petit drône dont la voix robotisé annonce un périmètre de sécurité. tu redresses le regard, atristé uniquement quand sa voix à lui raisonne et tu l'observe de tes prunelles claires. tu te forces à esquisser un très légers sourire, de toute évidence forcé en vue de la manière dont tu n'étais absolument pas d'humeur à sourire et à quel point t'étais toi même perdue dans tes propres souvenirs. pourtant la douceur et légèrement dont il faisait preuve avait quelque chose de touchant, de réconfortant même et ça te changeait des tordues que t'avais pu avoir au cours de ton existence – ou plutôt du tordu. – pour le moment. tu répètes d'une petite voix, observant légèrement la pièce comme pour espérer ne pas revoir l'éternel clown de gotham qui continuait de hanter tes pensées et d'alimenter tes traumatismes.

tu te reconnectes doucement, mais certainement à la réalité et tu viens glisser la mèche de cheveux qui tombait devant ton visage derrière ton oreille. Tu essaies de retrouver cette jovialité dont toi seule à le secret et tu réussie à enfin esquisser un sourire, plus sincère, bien que triste malgré tout. – je suis désolé. tu dis d'une toute petite voix. – je dors excessivement mal ces derniers temps, alors j'ai parfois du mal à différencier la fiction de la réalité. tu veux pas admettre qu'il y a un truc qui cloche chez toi, tu veux pas être qualifié de folle dingue et être encore regardé et jugé négativement par ses yeux à lui : alors forcément, tu cherches des excuses. Tu finis par t'activer, récupérant ainsi la table que tu t'empresses de remettre à sa position initiale pour ne rien laisser paraître à ceux qui passeront après toi et ensuite, ce sont les quelques feuilles volantes qui sont à même le sol que tu récupères. et ce n'est qu'une fois que tout est en place que tu l'observes de tes prunelles claires. – vous venez avec moi ? je vous racompagne vers la sortie. tu déclares tandis que tu pointes la porte d'un simple signe de tête et que tu t'empresses d'ouvrir la porte. tu peux pas t'empêcher de jeter un dernier regard vers le fond de la pièce, comme pour t'assurer que ce même démon était désormais loin derrière toi. tu voulais, espérait être inattégnable, pour l'instant et pourtant, tu savais qu'il suffisait d'un rien pour que tout reparte en vrille. c'est peut-être pour ça que ton éternelle folie était au final ta sérénité. parce que loin de la lucidité, le joker ne t'attegnait pas, ou plus. sauf quand t'étais toi même exposée à une situation qui avait la fâcheuse tendance de trigger les réactions défensives face aux souvenirs de ce que tu avais enduré. tu pleurais encore, parfois. parce que tu l'connaissais assez pour savoir qu'il te laissera pas partir. toi, t'étais sauvé, ou presque. Superman te faisait peur, en un sens, mais de l'autre tu lui devais ta libération. puis qu'on s'le dise : après sa mort, t'avais pas nécessairement eu le temps de réellement réfléchir sur la situation. ou peut-être que si, un peu, mais l'action était là, constante  et tu pouvais facilement chasser tes démons en essayant de saboter le régime de superman ou en essayant de survivre. ou en essayant de garder un œil sur le fils d'oliver et dinah et t'assurer qu'il faisait pas d'bétise – ou si il en faisait c'était celle que tu lui enseignait, parce que sinon, c'était pas drôle. t'avais eu de quoi t'occuper l'esprit mais depuis que tu es ici, tu succombais facilement a tes démons : peut-être car tu avais plus de temps pour penser. que t'avais enfin une vie à peu prêt normale, si on peut dire ça comme ça.

t'étais un peu perdue dans tes réflexion, cherchant à simplement te reconnecter à la réalité. toi qui parlait tout l'temps t'étais anormalement silencieuse et le moinde bruit avait cette manière de te faire réagir et observer un peu partout autour de toi, comme si t'avais du mal à discerner la réalité de ce qui se déroulait dans ton esprit. tu finis par enfin réaliser ce qui se déroule autour de toi quand t'arrives dans le hall principal et que ses affaires l'attendent. cette petite mine attristée devient, principalement car tu réalises qu'il sera plus là. que tu l'verras plus quand tu reviendras travailler et que tu te taperas juste les autres détenus stupides que t'écoute à moitié quand t'es de passage ici. ça t'fait même monter les larmes, mais tu les retiens malgré toi parce que maintenant t'as aucune raison d'le recroiser. et ça t'fait un peu mal au cœur. un peu beaucoup même. tu renifles même rapidement pour chasser ces sensations qui font surface et tu redresses enfin tes yeux clairs vers lui. – alors, quelle est la première chose que vous allez faire maintenant que vous êtes libre ? t'essaie d'te convaincre que ça va aller, vraiment. Sauf que tu peux vraiment pas t'empêcher d'te demander ce que tu vas faire sans l'voir. la voix d'ivy raisonne presque automatiquement dans ton crâne. you don't need a man to be happy harley. et tu sais qu'elle a raison, mais tu peux pas t'empêcher de te dire que ta vie va être sacrément plus ennuyeuse. Tu devrais peut-être aller acheter cette robe que t'as vu, ça t'redonnera le sourire.
enfin acheter.
plutôt passer à la caisse sans payer.  
(c) mars.
Revenir en haut Aller en bas

Contenu sponsorisé





traumas, they surround me. (ft. ferb) Empty
MessageSujet: Re: traumas, they surround me. (ft. ferb) traumas, they surround me. (ft. ferb) Empty

Revenir en haut Aller en bas
traumas, they surround me. (ft. ferb)
Revenir en haut
Page 1 sur 1
Sujets similaires
-
» Phénomène parabanal | Danny & Ferb
» Ferb, je sais c'qu'on va faire aujourd'hui !
» Candice Flynn - Phinéas et Ferb
» Phinéas Flynn - Phinéas et Ferb

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Celui Qui Demeure :: L'ile Baiame : la tête du serpent :: Banlieue Sud :: Prison-
Sauter vers: